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Je m'y suis souvent promené... Gros cafards noyés à l'auberge, Les départs sont toujours pleurés. On s'accroch(e) souvent bien longtemps Aux "heures perdues" incomplétées Mais la vie coule comme le sable Engloutit tout avec le temps. Amours perdues comm(e) des écumes Au vent du large s'en sont allées Il ne reste que l'amertume De n'être pas plus tôt rentré ! C'est alors que vient la gamberge La fée de l'imagination Ne restons pas boire à l'auberge Ailleurs est l'illumination. Ne cherche plus "Lettre perdue" Bouteille ouverte, vide, à la mer L'exaltation tombe des nues Et chasse tes propos amers C'est l'horizon qu'il faut fixer Adieu tristesse, larm(es) essuyées ! Et l'on repartira demain, Peut-êtr(e) plus heureux que la veille, Vers un autre quai des merveilles, L'espoir enchassé dans l'étain D'un monde nouveau qui s'éveille. "Ecoute le vent du large Et rêve face aux barges*" (*Barge : bateau à fond plat ou oiseau échassier) *** Et pour rêver encore ...cette
vidéo sur les quais ...de gare... Envoyé par Grand Corps Malade - Les Voyages En Train
*** Et l'on repartira demain, *
Pierfetz
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