LA RENTREE
Quand on y pense
que serait l'été
sans la souffrance
de se quitter
quand vient septembre
et la Rentrée.
Eloix
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Tandis que
l'été peint le ciel de ses couleurs
et
qu'août en mûrit les douceurs
les grillons
aux soirs se font chorales
et les
lucioles des étoiles.
Nuits humides
où les amours s'éternisent
Soirées
lascives où les baisers furtive(nt)
L'été
s'étiole
les colombes
s'élèvent, s'envolent
A propos des
Pensées hebdo de Pierrot...
Une belle pensée Pierre,
Éloix
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LA RENTREE
L'été sommeille
déjà la veille
du dernier
soir, du dernier jour,
d'une belle
histoire, d'un amour,
adieu Amie
!
je t'ai
aimé !
L'été ensoleille les matins
frisquets
Bientôt septembre
Les matins
gris inquiets
Des belles
histoires, des amours de cendre
Adieu Ami
!
Je t'ai
aimé !
Quand on y
pense
que serait
l'été
sans la
souffrance
de se
quitter
quand vient
septembre
et la
Rentrée.
Telle est
ta loi, été
Des amours
composées
Sous ta
bienveillante chaleur
De se
quitter, il est l'heure
Quand vient
septembre
C'est la
Rentrée !
Que seraient
vacances
sans
romances,
que seraient
dimanches
sans une
danse,
que seraient
les feux
sans
être deux.
Dis, si on
prenait des vacances
Tout
l'année
Ça
serait dimanche, romances
À
jamais
Ainsi, les
feux de nos yeux
De nos
corps, ensemble tous deux
Le
croirais-tu
belle
ingénue
que je te
dise
sans sottise
:
je n'ai
vécu tout ces 10 mois
que pour ces
deux où tu es là.
Et moi qui
t'attendais
Dans mes
automnes et mes hivers
Au
printemps venu, c'était hier
Encore, je
te cherchais
C'est
à l'été
Que je t'ai
enfin retrouvé.
Qu'importe
demain
jour sans
lendemain
s'il est
départ,
veille des
trop tard,
j'aurai vu
l'aube dans mon coeur
des plus grand
jours, du bonheur.
Tu sais,
les demains
Je m'en
arrange assez bien
S'il y a
départ ce jour
Il y aura
retour
De nos
heures bleues et dans nos coeurs
Reste
à cueillir grands jours et bouquets de
fleurs.
Éloix Ode ( en toute
amitié-complicité )
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Confidences, dans l'aube
naissante tes mots brisent le silence comme le murmure du
ruisseau qui doucement s'éveille aux clapotis des
oiseaux venus y faire leurs ablutions matinales...
Éloix ( en merci
à Pierre )
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