LA RENTREE
L'été sommeille
déjà la veille
du dernier
soir, du dernier jour,
d'une belle
histoire, d'un amour.
Adieu Amie
!
je t'ai
aimée !
L'été ensoleille les matins
frisquets.
Bientôt septembre,
Les matins
gris inquiets,
Des belles
histoires, des amours de cendre.
Adieu Ami
!
Je t'ai
aimé !
Quand on y
pense,
que serait
l'été,
sans la
souffrance
de se
quitter
Quand vient
septembre
et la
Rentrée.
Telle est
ta loi, été
Des amours
composées
Sous ta
bienveillante chaleur,
De se
quitter, il est l'heure
Quand vient
septembre,
C'est la
Rentrée !
Que seraient
vacances,
sans
romances?
Que seraient
dimanches,
sans une
danse?
Que seraient
les feux,
sans
être deux?
Dis, si on
prenait des vacances,
Toute
l'année ?
Ça
serait dimanche, romances,
À
jamais.
Ainsi, les
feux de nos yeux,
De nos
corps, ensemble tous deux.
Le
croirais-tu,
belle
ingénue
que je te
dise,
sans sottise
:
Je n'ai
vécu tout ces 10 mois
que pour ces
deux où tu es là.
Et moi qui
t'attendais,
Dans mes
automnes et mes hivers,
Au
printemps venu, c'était hier,
Encore, je
te cherchais.
C'est
à l'été
Que je t'ai
enfin retrouvé.
Qu'importe
demain,
jour sans
lendemain,
s'il est
départ,
veille des
trop tard.
J'aurai vu
l'aube dans mon coeur
des plus grand
jours, du bonheur.
Tu sais,
les demains,
Je m'en
arrange assez bien.
S'il y a
départ ce jour,
Il y aura
retour.
De nos
heures bleues et dans nos coeurs,
Reste
à cueillir grands jours et bouquets de
fleurs.
Éloix -Ode
( Complicité
poétique )
Éloix ( en merci
à Pierre )
*
Où est
donc passé bel été ?
Mon cerf-volant est démonté.
Le vent du large a emporté
Mes souvenirs et mes regrets.
L'automne
arrive, c'est la rentrée.
Je n'ai plus le temps d'y penser.
Mes amis ne peux oublier,
J'y songe comme un rusé sotret !
En amour comme
en amitié,
Au-delà des jours et des nuits,
On ne coupe jamais à moitié
L'au-delà du temps qui s'enfuit.
Pierre
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