Gonflée, ventrue d'espoir, Parturiente trop brêve Fruit du couchant d'un soir. J'étais si bien chez toi, Sans souci des dérives, Embryon de moi. Ebloui de lumière, Agressé par le temps, J'en ferme les paupières, Je me dessèche au vent. La vie me crie merveille, Mon cri est différent, Et quand je me réveille, Tout est incohérent. Petits moments, Adolescence, Furieux torrent. Les interdits, Le coeur à nu, Tous les non-dits De l'inconnu... Et m'aperçois que ne sais rien. Heureusement la poésie Reste pour moi un grand soutien. ... J'étais si bien chez toi, Sans souci des dérives. Devenu enfin moi, J'ai dû changer de rives. Suit son chemin. La vie est née Et déjà fin. Aimer pour mieux agir, Agir par la pensée Et un jour devenir Parole d'éternité ! C'était hier et déjà te
voila grand. *** "Un être humain est une partie du tout que nous appelons "UNIVERS".
Albert Einstein, Physicien *** Il nous faut naître deux fois pour vivre un peu, ne serait-ce qu'un peu.
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