RÊVE D'ÉTÉ

 

REVE D'ETE

 

 

  Écoutons la nuit

elle chante pour nous

l’éternité... ( Yves Drolet )

 

 

   Un ciel et peu de nuages, une nuit étoilée aux pôles ou sous les tropiques ... en haute montagne ou même en plein désert ... l'Ineffable souffle sur l'être qu'il rencontre. C'est l'été, à la campagne comme à la mer, le message passe mieux qu'à la lumière des villes mais l'artifice humain participe à la fête, à sa manière ! Les noctambules de la nature passent un moment de bonheur parmi les lucioles qui se promènent dans les fourrés ! Ne rentrez pas trop tôt dans vos tannières ... l'été !!! (Pierfetz)

 

 

 

 

 

 

" Vous avez mis la nature au travail et libéré, ou presque, les esclaves. C'est bien, je vous approuve du fond de mon tonneau, moi qui vécus quatre-vingt-dix ans sans besoin, donc sans maître. Mais pourquoi faut-il que vous n'ayez pas su abolir la peine sans compromettre la joie qui la rendait supportable ? Je vous vois les derniers mois en vacances, courant le monde, arpentant les montagnes, envahissant les côtes de la mer. En pensant à toute la science qu'il faut pour vous donner cela et à tout cet effort pour se reposer, je me souviens de nos fêtes naïves et je le regrette. Encore vingt-quatre siècles et peut-être saurez-vous retrouver votre enfance sans abdiquer votre âge adulte " ( Diogène-Atlas )

 

 

 

   

 

 

 

La nuit n'est jamais complète. Il y a toujours, puisque je le dis, puisque je l'affirme, au bout du chemin une fenêtre ouverte, une fenêtre éclairée. Il y a toujours un rêve qui veille, désir à combler, faim à satisfaire, un coeur généreux... Une main tendue, une main ouverte, des yeux attentifs, une vie, la VIE à se partager.

( Paul Eluard )

 

 

 

Autour d'un feu de camp, au solstice d'été, les visages s'illuminent .... les enfants sont séduits, les femmes sont encore plus belles !

*

La lumière artificielle est une avancée qui facilite nos déplacements et nos éblouissements festifs, sans cesse recommencés ... L'émerveillement nous vient d'un ailleurs qui nous dépasse mais nous réconforte de l'intérieur. ( Pierfetz )

 

 
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