TEXTES DE SAGESSE

 

TEXTES DE SAGESSE

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JE CONTINUERAI

ORCHIDEES DU VIET NAM

NATURE

BEAU MESSAGE

AQUARELLES

LE JOUR OU

RELAXONS NOUS

LE SABLE ET LA PIERRE

MON COEUR RENFERME

LE SENS DE LA VIE

IMAGINE

J'AI APPRIS

LA NATURE

SI LE MONDE M'APPARTENAIT

JEUX DE MOTS

LE POT FELE

LES15 CLES DE L'AMITIE

LE VIEUX SAGE

BONS MOMENTS

PENSEES AMUSANTES

AIMER

VIE HUMAINE

MONET-SHAKESPEARE

INTERVIEW AUDREY

SAGESSE ORIENTALE

 

 

MA PHILOSOPHIE DE CLOWN

ACCUEIL ARCIEL

TROUSSE DE SECOURS

MON PETIT PANIER

LA SAGESSE

AIMER, C'EST QUOI?

LA CLE DU BONHEUR

LETTRE ECRITE ( 2070)

VIS TA VIE

L'AMOUR..

RICHE ET PAUVRE

FEMMES

LE BONHEUR

MORT LENTE

BISCUITS

SAGESSE

FEMMES

VIEILLISSEMENT

LA CAMPAGNE

AVEC DES FLEURS

LA VIE

DECES

ABBE PIERRE

TROIS CHOSES IMPORTANTES

FASCINATION

 

MON PANIER

*********

 

EXTRAITS SELECTIONNES DU CLUB POSITIF

( Clic sur titre pour y accéder )

Textes mis temporairement ici à disposition...

 

Un jour, un vieux professeur de l'École Nationale d'Administration

  Publique (ENAP) fut engagé pour donner une formation sur la
  planification efficace de son temps à un groupe d'une quinzaine de
  dirigeants de grosses compagnies nord-américaines.
 
     Ce cours constituait l'un des 5 ateliers de leur journée de
  formation. Le vieux prof n'avait donc qu'une heure pour "faire
  passer sa matière ".
 
     Debout, devant ce groupe d'élite (qui était prêt à noter tout
  ce que l'expert allait lui enseigner), le vieux prof les regarda
  un par un, lentement, puis leur dit : "Nous allons réaliser une
  expérience".
 
     De dessous la table qui le séparait de ses élèves, le vieux prof
  sortit un immense pot de verre de plus de 4 litres qu'il posa
  délicatement en face de lui. Ensuite, il sortit environ une douzaine
  de cailloux a peu près gros comme des balles de tennis et les plaça
  délicatement, un par un, dans le grand pot. Lorsque le pot fut
  rempli jusqu'au bord et qu'il fut impossible d'y ajouter un caillou
  de plus, il leva lentement les yeux vers ses élèves et leur demanda :
 
    "Est-ce que ce pot est plein?".
 
    Tous répondirent : "Oui".
 
    Il attendit quelques secondes et ajouta : "Vraiment ?".
 
    Alors, il se pencha de nouveau et sortit de sous la table un
  récipient rempli de gravier. A
  vec minutie, il versa ce gravier sur
  les gros cailloux puis brassa légèrement le pot. Les morceaux de
  gravier s'infiltrèrent entre les cailloux... jusqu'au fond du pot.
 
    Le vieux prof leva à nouveau les yeux vers son auditoire et
  réitéra sa question  :
 
    "Est-ce que ce pot est plein?". Cette fois, ses brillants élèves
  commençaient à comprendre son manège.
 
    L'un d'eux répondît: "Probablement pas !".
 
    "Bien !" répondît le vieux prof.
 
    Il se pencha de nouveau et cette fois, sortit de sous la table
  un sac de sable. Avec attention, il versa le sable dans le pot.
  Le sable alla remplir les espaces entre les gros cailloux et le
  gravier. Encore une fois, il redemanda : "Est-ce que ce pot
  est plein ?".
 
    Cette fois, sans hésiter et en choeur, les brillants élèves
  répondirent :
 
    "Non!".
 
    "Bien!" répondît le vieux prof.
 
    Et comme s'y attendaient ses prestigieux élèves, il prit le
  pichet d'eau qui était sur la table et remplit le pot jusqu'a ras
  bord. Le vieux prof leva alors les yeux vers son groupe et demanda :
 
    "Quelle grande vérité nous démontre cette expérience? "
 
    Pas fou, le plus audacieux des élèves, songeant au sujet de ce
  cours, répondît : "Cela démontre que même lorsque l'on croit que
  notre agenda est complètement rempli, si on le veut vraiment,
  on peut y ajouter plus de rendez-vous, plus de choses à faire ".
 
    "Non" répondît le vieux prof. "Ce n'est pas cela. La grande
  vérité que nous démontre cette expérience est la suivante :
 
     "Si on ne met pas les gros cailloux en premier dans le pot,
  on ne pourra jamais les faire entrer tous, ensuite".
 
    Il y eut un profond silence, chacun prenant conscience de
  l'évidence de ces propos.
 
    Le vieux prof leur dit alors : "Quels sont les gros cailloux
  dans votre vie ?"
 
    "Votre santé ?"
 
    "Votre famille ?"
 
    "Vos ami(e)s ?"
 
    "Réaliser vos rêves ?"
 
    "Faire ce que vous aimez ?"
 
    "Apprendre ?"
 
    "Défendre une cause ?"
 
    "Vous relaxer ?"
 
    "Prendre le temps... ?"
 
    "Ou... tout autre chose ?"
 
    "Ce qu'il faut retenir, c'est l'importance de mettre ses GROS
  CAILLOUX en premier dans sa vie, sinon on risque de ne pas
  réussir... sa vie. Si on donne priorité aux peccadilles (le gravier,
  le sable), on remplira sa vie de peccadilles et on n'aura plus
  suffisamment de temps précieux à consacrer aux éléments importants
  de sa vie.
 
    Alors, n'oubliez pas de vous poser à vous-même, Pierre, la
  question :
 
    "Quels sont les GROS CAILLOUX dans ma vie?"
 
    Ensuite, mettez-les en premier dans votre pot (vie)"
 
    D'un geste amical de la main, le vieux professeur salua son
  auditoire et quitta lentement la salle.
 

 

******

 

«Une vieille légende hindoue raconte qu'il y eut un temps où tous les hommes étaient des dieux. Mais ils abusèrent tellement de leur divinité que Brahma, le maître des dieux, décida de leur ôter le pouvoir divin et de le cacher à un endroit où il leur serait impossible de le retrouver. Le grand problème fut donc de lui trouver une cachette.

Lorsque les dieux mineurs furent convoqués à un conseil pour résoudre ce problème, ils proposèrent ceci : "Enterrons la divinité de l'homme dans la terre." Mais Brahma répondit : "Non, cela ne suffit pas, car l'homme creusera et la trouvera."

Alors les dieux répliquèrent : "Dans ce cas, jetons la divinité dans le plus profond des océans."

Mais Brahma répondit à nouveau : "Non, car tôt ou tard, l'homme explorera les profondeurs de tous les océans, et il est certain qu'un jour, il la trouvera et la remontera à la surface."

Alors les dieux mineurs conclurent : "Nous ne savons pas où la cacher car il ne semble pas exister sur terre ou dans la mer d'endroit que l'homme ne puisse atteindre un jour."

Alors Brahma dit : "Voici ce que nous ferons de la divinité de l'homme : nous la cacherons au plus profond de lui-même, car c'est le seul endroit où il ne pensera jamais à chercher."

Depuis ce temps-là, conclut la légende, l'homme a fait le tour de la terre, il a exploré, escaladé, plongé et creusé, à la recherche de quelque chose qui se trouve en lui. » (Eric Butterworth, Découvre la puissance en toi)

 

***

Le maître Zong avait atteint le

  degrés ultime de la connaissance : le
  détachement.
 
    Quand ses disciples lui demandèrent
  comment il était parvenu à ce stade de
  sagesse, il rit de bon coeur et
  expliqua :
 
  -  A l'âge de 20 ans, je me fichais bien
  de ce qu'on pouvait dire sur mon compte
  et je ne faisais attention qu'à moi.
 
    Passé l'âge de 20 ans j'ai commencé à
  m'inquiéter sérieusement de ce que mes
  voisins pensaient de moi.
 
    Le jour suivant l'anniversaire de mes
  50 ans, j'ai soudain compris que ni mes
  voisins ni personne dans mon entourage
  ne s'était jamais préoccupé de mon
  sort.
 
  ________________________________
 
    Maître Zong a raison. Il faut avoir
  atteint un certain degré de sagesse
  pour oser mener sa vie comme on
  l'entend, en dépit du regard qu'autrui
  porte sur vous. Mais il est également
  important de porter attention à ceux
  qui nous entourent, sans pour autant
  les juger...
 
    Toute la difficulté est là : être à
  la fois autonome et ouvert sur les
  autres.
 
 
****
 
    "Si vous ne prenez pas votre vie en
  main, quelqu'un d'autre le fera"
   John Atkinson

***********************

SOYEZ POSITIFS

(Extraits)

"Les pensées négatives sont importantes. Elles permettent de se préparer à l'imprévu, de vider nos peurs, d'exercer notre sens critique, et notre culture cartésienne privilégie ce mode de pensée.
 
  Malheureusement, penser trop négativement contribue peu à notre bonheur. C'est plutôt l'inverse. L'instant le plus précieux, l'événement le plus heureux peuvent être gâchés par une pensée négative. Et une étude des préoccupations mentales de nos contemporains montre qu'ils passent le plus clair de leur temps à craindre des événements... qui n'arrivent jamais.

  Pire, loin de penser une fois à ce qui pourrait se produire de négatif pour n'y plus penser ensuite, nous avons trop souvent tendance à ressasser toujours les mêmes rengaines mentales...
 
  Le résultat ?

  Nervosité, fatigue, mauvaise humeur, qui débouchent trop souvent sur des maladies psychosomatiques, voire des névroses.
............


  ********

Personne n'est une île.
(Extrait)

Nous avons besoin des autres pour survivre.

Même si nous apprécions parfois l'éloignement et la solitude

nous restons des animaux politiques, c'est-à-dire des êtres
  
qui s'épanouissent au milieu de leurs semblables.
Ceux qui renoncent au commerce des hommes
ne sont plus ravitaillés, dépérissent,
sentent frustrés, tentent de vivre sur leurs propres ressources...
  
et les épuisent. Contre l'ennui, contre l'affaiblissement :
  
ressourcez vous auprès de vos proches, amis ou famille......
 

***

AUTRES TEXTES SELECTIONNES

Un Roi avait pour fils unique un jeune Prince
  courageux, habile et intelligent. Pour parfaire
  son apprentissage de la Vie, il l'envoya auprès
  d'un Vieux Sage.
 
     "Eclaire-moi sur le Sentier de la Vie", demanda le Prince.
 
     "Mes paroles s'évanouiront comme les traces
  de tes pas dans le sable, répondit le Sage. Cependant
  je veux bien te donner quelques indications. Sur ta
  route, tu trouveras 3 portes. Lis les préceptes
  indiqués sur chacune d'entre elles. Un besoin
  irrésistible te poussera à les suivre. Ne cherche
  pas à t'en détourner, car tu serais condamné à
  revivre sans cesse ce que tu aurais fui. Je ne puis
  t'en dire plus. Tu dois éprouver tout cela dans
  ton coeur et dans ta chair. Va, maintenant. Suis
  cette route, droit devant toi."
 
     Le Vieux Sage disparut et le Prince s'engagea
  sur le Chemin de la Vie.
 
     Il se trouva bientôt face à une grande porte sur
  laquelle on pouvait lire "CHANGE LE MONDE".
 
     "C'était bien là mon intention, pensa le Prince,
  car si certaines choses me plaisent dans ce monde,
  d'autres ne me conviennent pas." Et il entama son
  premier combat. Son idéal, sa fougue et sa vigueur
  le poussèrent à se confronter au monde, à entreprendre,
  à conquérir, à modeler la réalité selon son désir.
  Il y trouva le plaisir et l'ivresse du conquérant,
  mais pas l'apaisement du coeur. Il réussit à changer
  certaines choses mais beaucoup d'autres lui résistèrent.
  Bien des années passèrent.
 
     Un jour il rencontra le Vieux Sage qui lui demande :
  "Qu'as-tu appris sur le chemin ?" "J'ai appris,
  répondit le Prince, à discerner ce qui est en mon
  pouvoir et ce qui m'échappe, ce qui dépend de moi
  et ce qui n'en dépend pas". "C'est bien, dit le
  Vieil Homme. Utilise tes forces pour agir sur ce
  qui est en ton pouvoir. Oublie ce qui échappe à
  ton emprise." Et il disparut.
 
     Peu après, le Prince se trouva face à une seconde
  porte. On pouvait y lire "CHANGE LES AUTRES".
  "C'était bien là mon intention, pensa-t-il.
  Les autres sont source de plaisir, de joie et
  de satisfaction mais aussi de douleur, d'amertume
  et de frustration." Et il s'insurgea contre tout
  ce qui pouvait le déranger ou lui déplaire chez
  ses semblables. Il chercha à infléchir leur
  caractère et à extirper leurs défauts.
  Ce fut là son deuxième combat.
  Bien des années passèrent.
 
     Un jour, alors qu'il méditait sur l'utilité
  de ses tentatives de changer les autres, il croisa
  le Vieux Sage qui lui demanda : "Qu'as-tu appris
  sur le chemin ?" "J'ai appris, répondit le Prince,
  que les autres ne sont pas la cause ou la source
  de mes joies et de mes peines, de mes satisfactions
  et de mes déboires. Ils n'en sont que le
  révélateur ou l'occasion. C'est en moi que
  prennent racine toutes ces choses." "Tu as raison,
  dit le Sage. Par ce qu'ils réveillent en toi,
  les autres te révèlent à toi-même. Soit
  reconnaissant envers ceux qui font vibrer en
  toi joie et plaisir. Mais sois-le aussi envers
  ceux qui font naître en toi souffrance ou
  frustration, car à travers eux la Vie t'enseigne
  ce qui te reste à apprendre et le chemin que tu
  dois encore parcourir." Et le Vieil Homme disparut.
 
     Peu après, le Prince arriva devant une porte
  où figuraient ces mots "CHANGE-TOI TOI-MEME".
  "Si je suis moi-même la cause de mes problèmes,
  c'est bien ce qui me reste à faire," se dit-il.
  Et il entama son 3ème combat. Il chercha
  à infléchir son caractère, à combattre ses
  imperfections, à supprimer ses défauts, à changer
  tout ce qui ne lui plaisait pas en lui, tout
  ce qui ne correspondait pas à son idéal.
  Après bien des années de ce combat où il connut
  quelque succès mais aussi des échecs et des
  résistances, le Prince rencontra le Sage qui lui
  demanda :
 
     Qu'as-tu appris sur le chemin ?"
 
     "J'ai appris, répondit le Prince, qu'il y a en
  nous des choses qu'on peut améliorer, d'autres
  qui nous résistent et qu'on n'arrive pas à
  briser."
 
     "C'est bien," dit le Sage.
 
     "Oui, poursuivit le Prince, mais je commence à
  être las de ma battre contre tout, contre tous,
  contre moi-même. Cela ne finira-t-il jamais ?
  Quand trouverai-je le repos ? J'ai envie de
  cesser le combat, de renoncer, de tout abandonner,
  de lâcher prise." "C'est justement ton prochain
  apprentissage, dit le Vieux Sage. Mais avant
  d'aller plus loin, retourne-toi et contemple
  le chemin parcouru." Et il disparut.
 
     Regardant en arrière, le Prince vit dans le
  lointain la 3ème porte et s'aperçut qu'elle
  portait sur sa face arrière une inscription qui disait
 
            "ACCEPTE-TOI TOI-MEME."
 
     Le Prince s'étonna de ne point avoir vu cette
  inscription lorsqu'il avait franchi la porte la
  première fois, dans l'autre sens. "Quand on combat
  on devient aveugle, se dit-il." Il vit aussi,
  gisant sur le sol, éparpillé autour de lui,
  tout ce qu'il avait rejeté et combattu en lui :
  ses défauts, ses ombres, ses peurs, ses limites,
  tous ses vieux démons. Il apprit alors à les
  reconnaître, à les accepter, à les aimer.
  Il apprit à s'aimer lui-même sans plus se comparer,
  se juger, se blâmer.
  Il rencontra le Vieux Sage qui lui demanda :
 
     "Qu'as-tu appris sur le chemin ?"
 
     "J'ai appris, répondit le Prince, que détester
  ou refuser une partie de moi, c'est me condamner
  à ne jamais être en accord avec moi-même.
  J'ai appris à m'accepter moi-même, totalement,
  inconditionnellement."
 
     "C'est bien, dit le Vieil Homme, c'est la première
  Sagesse. Maintenant tu peux repasser la 3ème
  porte."
 
     A peine arrivé de l'autre côté, le Prince
  aperçut au loin la face arrière de la seconde
  porte et y lut
 
            "ACCEPTE LES AUTRES".
 
     Tout autour de lui il reconnut les personnes
  qu'il avait côtoyées dans sa vie ; celles qu'il
  avait aimées comme celles qu'il avait détestées.
  Celles qu'il avait soutenues et celles qu'il avait
  combattues. Mais à sa grande surprise, il était
  maintenant incapable de voir leurs imperfections,
  leurs défauts, ce qui autrefois l'avait tellement
  gêné et contre quoi il s'était battu.
 
     Il rencontra à nouveau le Vieux Sage. "Qu'as-tu
  appris sur le chemin ?" demanda ce dernier.
  J'ai appris, répondit le Prince, qu'en étant en
  accord avec moi-même, je n'avais plus rien à
  reprocher aux autres, plus rien à craindre d'eux.
  J'ai appris à accepter et à aimer les autres
  totalement, inconditionnellement." "C'est bien,"
  dit le Vieux Sage. C'est la seconde Sagesse.
  Tu peux franchir à nouveau la deuxième porte.
 
     Arrivé de l'autre côté, le Prince aperçut la
  face arrière de la première porte et y lut
 
             "ACCEPTE LE MONDE".
 
     Curieux, se dit-il, que je n'aie pas vu cette
  inscription la première fois. Il regarda autour
  de lui et reconnut ce monde qu'il avait cherché à
  conquérir, à transformer, à changer. Il fut frappé
  par l'éclat et la beauté de toute chose. Par leur
  perfection. C'était pourtant le même monde
  qu'autrefois. Etait-ce le monde qui avait changé
  ou son regard ?
  Il croisa le Vieux Sage qui lui demanda.
 
     "Qu'as-tu appris sur le chemin ?"
 
     "J'ai appris, dit le Prince, que le monde
  est le miroir de mon âme. Que mon âme ne voit
  pas le monde, elle se voit dans le monde.
  Quand elle est enjouée, le monde lui semble gai.
  Quand elle est accablée, le monde lui semble
  triste. Le monde, lui, n'est ni triste ni gai.
  Il est là ; il existe ; c'est tout. Ce n'était
  pas le monde qui me troublait, mais l'idée que
  je m'en faisais. J'ai appris à accepter sans
  le juger, totalement, inconditionnellement."
 
     C'est la 3ème Sagesse, dit le Vieil Homme.
  Te voilà à présent en accord avec toi-même, avec
  les autres et avec le Monde." Un profond sentiment
  de paix, de sérénité, de plénitude envahit le
  Prince. Le Silence l'habita. "Tu es prêt,
  maintenant, à franchir le dernier Seuil, dit
  le Vieux Sage, celui du passage du silence de
  la plénitude à la Plénitude du Silence".
 
     Et le Vieil Homme disparut.
 
 
  Texte de Charles Brulhart, Décembre 1995
"Vous pouvez utiliser librement ce document,
à condition de ne pas le modifier et de
mentionner sa source : http://www.metafora.ch
et le nom de son auteur : Charles Brulhart."
 

***

Le stress est une maladie qu'on peut en partie guérir.
  Voici quelques réflexions de bon sens qui vous aideront à
  vivre en paix.
 
      1. On dit que "le stress primordial" est attaché à la
  peur sourde de la mort, de la fin de vie. Mais est-ce vraiment
  la mort que l'on craint ? Non, car on ne sait rien d'elle.
  Avec la fin de l'existence vient aussi la fin de notre conscience
  et de nos sensations, donc on ne peut rien savoir ni sentir de
  la mort. Donc elle n'est rien.
 
      2. Le stress c'est la crainte de ne pas être parfait :
  Ah ? Vous croyiez être parfait... ? Eh bien sachez que vous ne
  l'avez jamais été puisque votre manque de modestie a pu vous
  faire croire que vous l'étiez. Or il ne peut y avoir de perfection
  dans le manque.
 
      3. Le stress c'est la peur de ne pas pouvoir tout faire en
  un temps donné :
  Le temps, comme l'espace, est une dimension extensible. C'est une
  des rares choses qu'on peut s'octroyer presque gratuitement.
  Sachez que rien de ce qui est beau ou grandiose ne s'est fait
  en un jour.
 
      4. Le stress c'est souffrir de ne pas correspondre à l'image
  qu'on veut donner de soi :
  l'oeil ne voit pas l'objet mais l'image de l'objet. Vous aussi
  n'êtes qu'un reflet dans le regard d'autrui qui ne parviendra jamais
  à vous voir tel que vous êtes vraiment, quels que soient ces efforts
  pour y parvenir. Alors laissez tomber !
 
      5. Le stress survient quand on ne sait pas dire non :
  vous savez dire non. La preuve, vous n'êtes pas mort(e). Si vous êtes
  encore en vie au moment où vous lisez ces lignes, c'est que vous avez
  réussi à dire non bien des fois, avec votre esprit ou votre corps...
  Vivre, c'est s'entraîner chaque jour à refuser de mourir.
 
www.club-positif.com

***

  "Un voyageur très fatigué s'assit à l'ombre d'un arbre sans se
  douter qu'il venait de trouver un arbre magique, "l'Arbre à Réaliser
  des Souhaits".
 
     Assis sur la terre dure, il pensa qu'il serait bien agréable de
  se retrouver dans un lit moelleux. Aussitôt, ce lit apparut à côté
  de lui.
 
     Étonné, l'homme s'y installa en disant que le comble du bonheur
  serait atteint si une jeune fille venait masser ses jambes
  percluses. La jeune fille apparut et le massa très agréablement.
 
     « J'ai faim, se dit l'homme, et manger en ce moment serait à
  coup sûr un délice. » Une table surgit, chargée de nourritures
  succulentes.
 
     L'homme se régala. Il mangea et il but. La tête lui
  tournait un peu. Ses paupières, sous l'action du vin et de la
  fatigue, s'abaissaient. Il se laissa aller de tout son long sur
  le lit, en pensant encore aux merveilleux évènements de cette
  journée extraordinaire.
   

« Je vais dormir une heure ou deux, se dit-il. Le pire serait
  qu'un tigre passe par ici pendant que je dors. »
 
     Un tigre surgit aussitot et le dévora."
 
     Vous avez en vous un Arbre à souhait qui attend vos ordres.
 
     Mais attention, il peut aussi réaliser vos pensées
  négatives et vos peurs. En tout cas, il peut être parasité par
  elles et se bloquer. C'est le mécanisme des soucis.

( Club Positif )

 

Un jour, l'âne d'un fermier est tombé dans un puits.
L'animal gémissait pitoyablement pendant des heures,
et le fermier se demandait quoi faire. Finalement, il
a décidé que l'animal était vieux et le puits devait
disparaître de toute façon, ce n'était pas rentable
pour lui de récupérer l'âne.
*

Il a invité tous ses voisins à venir et à l'aider.
Ils ont tous saisi une pelle et ont commencé à
enterrer le puits.
*

Au début, l'âne a réalisé ce qui se produisait et se
mit à crier terriblement.
Puis, à la stupéfaction de chacun, il s'est tu.
*

Quelques pelletées plus tard, le fermier a finalement
regardé dans le fond du puits et a été étonné de ce
qu'il a vu.
*

Avec chaque pelletée de terre qui tombait sur lui,
l'âne faisait quelque chose de stupéfiant. Il se
secouait pour enlever la terre de son dos et montait
dessus.
*

Pendant que les voisins du fermier continuaient à
pelleter sur l'animal, il se secouait et montait
dessus.
*

Bientôt, chacun a été stupéfié que l'âne soit hors du
puits et se mit à trotter!'
            *             
La vie va essayer de  t'engloutir de toutes sortes
d'ordures. Le truc pour se sortir du trou est de se
secouer pour avancer.
*

Chacun de tes ennuis est une pierre qui permet de
progresser. Nous pouvons sortir des puits les plus
profonds en n'arrêtant jamais.. Il ne faut jamais
abandonner!
*

Secoue-toi et fonce!
*

Rappelle-toi, les cinq règles simples!
 À  ne jamais oublier, surtout
dans les moments les  plus sombres.
Pour être heureux / heureuse :
*

1. Libère ton coeur de la haine.
2. Libère ton esprit des inquiétudes.
3. Vis simplement.
4. Donne plus.
5. Attends moins.

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Le Petit Prince St Exupéry par MONPOYON

 

4 Accords Toltèques

 

***

Je me suis marié en mai. Un dimanche. Un peu par défi,
  pour ne rien faire comme les autres. Une semaine avant,
  j'avais invité le prêtre, un ami, à mon enterrement de vie de
  garçon. Au milieu de la nuit, un peu éméchés, nous sommes
  sortis sur la terrasse du restaurant, face à la mer.
 
      Je lui ai demandé : "alors mon père, un conseil avant
  le grand saut ?" Il m'a regardé et m'a dit : "oui. Ne pousse
  pas l'originalité et l'anticonformisme jusqu'à nier les
  vieilles recettes qui fonctionnent. Tu veux que ton couple
  dure ? Alors écoute chaque mot que prononcera ta femme."
 
      Sept années ont passé. Si vite. Nous avons eu un enfant.
  Notre lot de joies et de peines. Puis notre amour, sans que
  j'y prenne garde, s'est émoussé. Je n'avais pas oublié le
  conseil de mon ami prêtre, mais il me semblait que je
  connaissais ma femme presque aussi bien que moi et que
  j'aurais pu prévoir chacune de ses paroles avant meme qu'elle
  n'ait franchi le seuil de sa bouche. C'était décevant.
 
      Un soir, je suis retourné voir celui que, par dérision,
  j'appelais, Mon Père. Je lui expliquais la situation et lui
  demandai son avis. "J'écoute chaque mot qu'elle prononce,
  mais je ne vois pas ce que ça change."
 
      Mon ami se servit un verre et remplit le mien. En
  faisant tinter les glaçons il me regarda : "Tu n'as fait
  que la moitié du chemin. Maintenant retourne chez toi et
  écoute chaque mot que ta femme ne prononce pas."
Club Positif  
  ........................................................
 
      Les paroles qui comptent, les mots les plus importants,
  ne sont pas toujours ceux que l'on prononce de vive voix.
  Savoir écouter, porter une oreille attentive à l'autre,
  c'est d'abord apprendre à faire la différence entre ce qu'il
  dit et ce qu'il pense ou ressent.
 
      "L'organe de la parole n'est pas la bouche,
  c'est le coeur."
  M. de Cornouardt
 
  .........................................................
 
DESIDERATA
(Le commancdement de Dieu)

***


LETTRE A MES CELLULES
(Envoyée par Cridamour

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Il n'y a pas de meilleur moment que MAINTENANT pour être heureux.

Le bonheur est un voyage, pas une destination. Donc...

Travaillez comme si vous n'aviez pas besoin d'argent.

Aimez comme si vous n'aviez jamais été blessé.

Dansez comme si personne ne vous regardait.

Aimez chaque goutte du temps qui vous est donné, souriez,

aimez la vie, aimez votre vie, aimez ce que vous faites.

"Si vous aimez et devez éprouver des désirs, faites que ces désirs soient vôtres:

Vous fondre en ce ruisseau onduleux qui chante une mélodie à la nuit.

Eprouver la douleur d'un débordement de tendresse.

Porter la blessure qui n'est due qu'à votre incompréhension de l'amour,

Et à en laisser couler le sang joyeusement.

Vous réveiller à l'aube avec un coeur ailé et rendre grâce pour cette nouvelle journée où il vous est permis d'aimer.

Méditer ensuite sur l'extase de l'amour;

Et revenir chez vous au crépuscule rempli de gratitude;

Enfin, vous endormir avec, en votre coeur, sur une prière

pour l'être aimé et sur vos lèvres un chant de louanges." ( K.Gibran)

***

 

 

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Le jour où je me suis aimé pour vrai
(Charles Chaplin)

 

Le jour où je me suis aimé pour vrai, j'ai compris
qu'en toutes circonstances, j'étais à la bonne place, au bon moment.
Et, alors, j'ai pu me relaxer.
Aujourd’hui, je sais que ça s'appelle ...
Estime de soi.



Le jour où je me suis aimé pour vrai, j'ai pu percevoir
que mon anxiété et ma souffrance émotionnelle
n'étaient rien d'autre qu'un signal quand je vais contre mes convictions.
Aujourd'hui, je sais que ça s'appelle ...
Authenticité.


Le jour où je me suis aimé pour vrai, j'ai cessé de vouloir
une vie différente et j'ai commencé à voir que tout ce qui m'arrive
contribue à ma croissance personnelle.
Aujourd'hui, je sais que ça s'appelle ...
Maturité.


Le jour où je me suis aimé pour vrai, j'ai commencé à percevoir
l'abus dans le fait de forcer une situation, ou une personne,
dans le seul but d'obtenir ce que je veux,
sachant très bien que ni la personne ni moi-même ne sommes prêts
et que ce n'est pas le moment.
Aujourd'hui, je sais que ça s'appelle ...
Respect.

 

Le jour où je me suis aimé pour vrai, j'ai commencé à me libérer
de tout ce qui ne m'était pas salutaire... Personnes, situations,
tout ce qui baissait mon énergie.
Au début, ma raison appelait ça de l'égoïsme.
Aujourd'hui, je sais que ça s'appelle ...
Amour Propre.


Le jour où je me suis aimé pour vrai, j'ai cessé d'avoir peur
du temps libre et j'ai arrêté de faire de grands plans,
j'ai abandonné les mégaprojets du futur.
Aujourd'hui, je fais ce qui est correct, ce que j'aime,
quand ça me plaît et à mon rythme.
Aujourd'hui, je sais que ça s'appelle ...
Simplicité.


Le jour où je me suis aimé pour vrai, j'ai cessé de chercher
à toujours avoir raison, et me suis rendu compte
de toutes les fois où je me suis trompé.
Aujourd'hui, j'ai découvert ...
L'humilité.


Le jour où je me suis aimé pour vrai, j'ai cessé de revivre
le passé et de me préoccuper de l'avenir.
Aujourd'hui, je vis une seule journée à la fois.
Et ça s'appelle ...
Plénitude.

Le jour où je me suis aimé pour vrai, j'ai compris
que ma tête pouvait me tromper et me décevoir.
Mais si je la met au service de mon cœur,
elle devient un allié très précieux.
Tout ceci est ...
Savoir vivre.

Vous avez un superbe diaporama de ce texte en cliquant le premier ci-dessus!!!

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XXIème siècle !!!

ET VOICI L'ANNONCE DU DEPART D'UN AMI
que je garderai toujours en mon coeur comme modèle!

Voila un petit bout de lettre que j'ai reçu dernièrement... j'aime beaucoup :

 

« Aujourd'hui nous déplorons le décès d'un ami très cher qui se nommait BON SENS et qui a vécu parmi nous de longues années.

Personne ne connaît exactement son âge, car les registres de naissances ont été perdus il y a bien longtemps dans les méandres de la bureaucratie.

On se souvient de lui pour des leçons de vie, comme "La journée appartient à celui qui se lève tôt ", "Il ne faut pas tout attendre des autres" et "Ce qui arrive est peut-être de MA faute".

BON SENS vivait avec des règles simples et pratiques, comme "Ne pas dépenser plus que ce que l'on a", et des principes éducatifs clairs,
comme "Ce sont les parents, et non les enfants, qui décident ".

BON SENS a perdu pied quand des parents ont attaqué des professeurs pour avoir fait leur travail en voulant apprendre aux enfants les bonnes manières et le respect.
Un enseignant renvoyé, pour avoir réprimandé un élève trop excité, a encore aggravé l'état de santé de BON SENS.

Il s' est encore plus détérioré quand les écoles ont dû demander et obtenir une autorisation parentale pour mettre un pansement sur le petit bobo d'un élève,
sans pouvoir informer les parents de dangers bien plus graves encourus par l'enfant.

BON SENS a perdu la volonté de survivre quand des criminels recevaient un meilleur traitement que leurs victimes.

Il a encore pris des coups quand cela devint répréhensible de se défendre contre un voleur dans sa propre maison et que le voleur pouvait porter plainte pour agression.

BON SENS a définitivement perdu sa foi quand une femme qui n'avait pas réalisé que du café bouillant était chaud, en a renversé une petite goutte sur sa jambe, et pour cela a perçu une indemnisation colossale.

La mort de BON SENS a été précédée par celle de ses parents : VERITE ET CONFIANCE, de celle de sa femme, DISCRETION, de celle de sa fille,
RESPONSABILITE ainsi que de celle de son fils, RAISON.

Il laisse toute la place à ses trois faux-frères : "JE CONNAIS MES DROITS"," C'EST LA FAUTE DE L'AUTRE "et "JE SUIS UNE VICTIME".

*

"Il n' y avait pas foule à son enterrement car il n'y a plus beaucoup de personnes pour se rendre compte qu'il est parti.
Si vous vous souvenez de lui, faites circuler cette lettre, sinon ne faites rien ... "

***

Merci à tous les amis qui regardent, beaucoup à ceux qui lisent et plus encore à ceux qui se manifestent amicalement!

 

 

 

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